Tout au long de l’année 2017, les impacts des changements climatiques ont été de plus en plus fréquents et intenses, s’illustrant tristement par la hausse des températures, la multiplication des ouragans, la violence des moussons etc. Plus que jamais, la mise en oeuvre juste et efficace de l’accord de Paris est une priorité, et ne peut se faire qu’avec l’implication complète des acteurs non-étatiques. En tant que relais des préoccupations des populations locales et porteurs de solutions expérimentées sur le terrain, les acteurs non-étatiques doivent pouvoir participer activement à toutes les échelles de mise en oeuvre de l’accord de Paris, de l’international au local ; mais aussi à tous les processus permettant d’atteindre l’objectif d’un réchauffement limité à 2°C, voire 1,5°C.
En 2017, le RC&D s’est donc penché sur la question épineuse du rôle des acteurs non-étatiques dans la mise en oeuvre de l’accord de Paris. Les objectifs étaient à la fois d’identifier les freins de cette inclusion, mais aussi de définir des leviers d’action favorisant leur participation à toutes les échelles d’action.
La publication « Acteurs non-étatiques : Vers un rôle moteur dans la mise en oeuvre de l’accord de Paris » propose ainsi une analyse de la situation des acteurs non-étatiques basée sur les expériences des membres du réseau, mais développe aussi des projets innovants, issus du terrain et portés par des organisations du RC&D. De cette étude complète, réalisée notamment lors de l’atelier annuel du RC&D à Abidjan, ont été élaborées des recommandations à destination des négociateurs internationaux, des bailleurs, des initiatives, des gouvernements, des parlementaires et organisations de la société civile.
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